Cathédrale de la Major – Photos de Marseille

Cathédrale de la Major – Photos de Marseille

La ville de Marseille est la deuxième plus grande ville de France, ça, tout le monde le sait. Mais malgré son statut d’ancienne cité fondée par les phocéens il y a plus de 2600 ans, elle ne recèle que peu de monuments historiques, au vu de son passé et de sa taille.

Il faut dire que Marseille est une ville qui a connu plusieurs catastrophes, qui n’ont laissé que peu de place aux amoureux du patrimoine. L’un de ces monuments emblématiques d’aujourd’hui est une construction « moderne » à l’échelle de l’Histoire de Marseille : la Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille, plus connue sous le nom de « la Major ». Je vous propose de la visiter, en histoire et images.

Notre Dame de la Major, vue de la mer. On remarquera que non loin de là, le cirque Pinder y a installé sa tente.

Notre Dame de la Major, vue de la mer. On remarquera que non loin de là, le cirque Pinder y a installé sa tente.

Localisation

Le quartier de la Major est entre les deux ports principaux de Marseille, le bien connu Vieux Port, et le Grand port maritime de Marseille, précédemment connu sous le nom de Port autonome de Marseille. Cette situation stratégique, à l’entrée maritime de la ville lui donne beaucoup de visibilité, il est impossible de la louper. Le quartier fait partie d’un ensemble plus grand, le quartier de la Joliette dans le deuxième arrondissement de la ville, où de très importants changements qui ont changé la face de la ville ont eu lieu, avec la création d’Euroméditerranée, le nouveau quartier d’affaires de la cité phocéenne.

Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille

Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille

Je connais bien le coin, pour avoir passé plusieurs vacances et weekends dans un autre quartier emblématique de Marseille, Le Panier, situé à deux rues de la Major. C’est surprenant de voir cette cathédrale, immense, un peu à l’écart de la ville, coincée entre le port et les innombrables routes et rues qui passent juste devant sont minuscule parvis. C’est un endroit qui possède une magie unique, surtout la nuit, lorsque les voitures ne circulent plus, et laissent entendre le bruit de la mer, sentir la brise et observer en toute quiétude cette œuvre du XIXème siècle. Le meilleur point de vue se trouve sans doute à proximité du Fort Saint Jean, qui se trouve non loin de là.

Avant les travaux pour Marseille capitale européenne de la culture 2013, la circulation automobile était complexe. On espère que ça s'améliorera avec le temps.

Avant les travaux pour Marseille capitale européenne de la culture 2013, la circulation automobile était complexe. On espère que ça s’améliorera avec le temps.

Vue de la Major et de l'esplanade Saint Jean, plus connue à Marseille sous le doux nom de J4.

Vue de la Major et de l’esplanade Saint Jean, plus connue à Marseille sous le doux nom de J4.

Le quartier de la Major a complètement changé de physionomie avec les travaux pour Marseille capitale européenne de la culture 2013 et le nouveau quartier Euromed (ou Euroméditerranée). Le trafic automobile est mieux contrôlé et la cathédrale rendue aux promeneurs, contrastant avec les grands travaux de bétonnage intensif des 30 glorieuses, qui avaient complètement ravagé la ville et la défigurent encore de nos jours. De nos jours, on fait plutôt de nouveaux édifices soit disant de qualité, mais défigurant encore plus durablement le paysage que le vieil ouvrage en béton : personne n’envisage de démolir le Mucem (par exemple) dans 30 ou 40 ans!

Le petit train touristique passe bien sûr devant la Major.

Le petit train touristique passe bien sûr devant la Major.

Histoire de la cathédrale : la Vieille Major

Avant la Major, il y avait l’église de la Vieille Major. C’était l’ancienne cathédrale de Marseille, dont nous apercevons encore aujourd’hui les quelques misérables restes de ce qui était autrefois le plus haut lieu de culte de Marseille. La Vieille Major était disposée perpendiculairement à l’église moderne d’aujourd’hui, avec sa façade qui allait jusqu’au bord de mer. Difficile d’imaginer que se dressait à l’endroit où nous voyons aujourd’hui des pans de murs tenus par des contreforts en bois une belle église romane, datée du XIIème siècle, en remplacement elle-même d’un édifice religieux encore plus ancien, datant lui du Vème siècle, le Baptistère de la Major.

On reconnaît ce qui reste de la vieille Major, amputée de plusieurs travées du fait de la construction de la nouvelle Major.

On reconnaît ce qui reste de la vieille Major, amputée de plusieurs travées du fait de la construction de la nouvelle Major.

Une église aussi ancienne a connu plusieurs siècles de restauration, de remaniements et d’embellissements. Son plan initial était classique, basé sur la croix latine. Elle avait déjà connu une première démolition partielle, au Moyen-âge, semble-t-il pour pouvoir construire des fortifications, mais également parce que la mer gagnait du terrain.

Le XIXème siècle est une période étrange pour moi, avec ses incohérences qui laissent songeur. C’était une période où on admirait les anciennes constructions jusqu’à les imiter, comme en témoignent l’apparition des styles architecturaux néoclassiques ou néogothiques.  Mais c’est aussi l’époque où l’on ne respectait pas les anciennes constructions qui sortaient du phénomène de mode, d’où le peu d’égards qui furent témoignés envers cette cathédrale romane, et l’époque où l’on restaurait les monuments historiques plus d’un point de vue romantique que d’un point de vue réaliste et historique. Bref, le XIXème siècle est un siècle où l’on fantasmait beaucoup, me semble-t-il.

La vieille Major, ou plutôt, l'abside et un bout de la nef. Pour qu'elle ne se s'écroule pas, on a renforcé provisoirement les murs latéraux. La vieille Major est une mal-aimée des pouvoirs publics.

La vieille Major, ou plutôt, l’abside et un bout de la nef. Pour qu’elle ne se s’écroule pas, on a renforcé provisoirement les murs latéraux. La vieille Major est une mal-aimée des pouvoirs publics.

La Vielle Major a donc souffert de cette période, où il avait été estimé – à juste titre d’ailleurs – que Marseille avait besoin d’une Cathédrale plus grande, plus moderne, plus imposante. La Vieille Major ne suffisait plus. Les autorités de l’époque l’avaient décidé, ils allaient démolir l’église pour y construire en lieu et place la nouvelle Major. Sauf que de nombreux marseillais s’unirent à la « Société française pour la conservation des monuments » pour empêcher la démolition de l’église, choqués par tant de mépris, comme moi aujourd’hui, de la part des autorités. Ils réussirent à sauver l’essentiel, le chœur et une travée, mais sera désormais à jamais amputée des deux autres travées.

Maquette de la vieille Major

Maquette de la vieille Major

On peut se dire que plus d’un siècle plus tard, le mépris des autorités est toujours visible, la Vieille Major étant fermée pour une durée indéterminée pour « restauration », offrant ainsi le triste spectacle d’une ruine à qui y passe aujourd’hui. Pourtant il serait simple je pense de le restaurer convenablement, et de le rouvrir au public, pour y exposer par exemple les anciennes pièces majeures de la cathédrale. On n’y retrouvera pas l’ancien orgue, qui datait de Louis XIV, il fut démonté, et le peu qui était encore exploitable fut monté à l’église de La Ciotat.

C'est dommage d'avoir coupé en deux l'ancienne cathédrale pour construire la nouvelle, comme si la place n'était pas suffisante…

C’est dommage d’avoir coupé en deux l’ancienne cathédrale pour construire la nouvelle, comme si la place n’était pas suffisante…

Saint Lazare

Marseille a une relation toute particulière avec ce Saint biblique. C’est, selon la légende, le premier évêque de la ville. Son corps aurait été conservé dans l’abbaye Saint Victor de Marseille jusqu’au Xème siècle, lorsque, pour protéger cette précieuse relique des attaques des attaques extérieures (on ne sait pas s’il s’agissait de Sarrazins ou de Normands), il fut décidé de l’envoyer à Autun. C’est ainsi que l’on y construira plus tard, en 1120, un édifice digne des reliques bibliques, avec la Cathédrale Saint-Lazare d’Autun. Marseille ne conserva que la tête du saint, à la Major.

A gauche, la Chapelle Saint Lazare. A droite, façade latérale. On voit bien l'alternance des deux types de pierre.

A gauche, la Chapelle Saint Lazare. A droite, façade latérale. On voit bien l’alternance des deux types de pierre.

Une confusion avait été faite au Moyen-âge entre deux Lazare : celui de Marseille était en fait Lazare d’Aix, un évêque d’Aix-en-Provence du Vème siècle. Cette confusion est aujourd’hui dissipée, les reliques du « vrai » Lazare, l’ami de Jésus se trouvaient à Constantinople jusqu’au jour où les croisés ont pillé la ville en 1204. Ils auraient alors rapporté avec eux les reliques à Marseille, puis jusqu’à la Sainte Chapelle de Paris, mais elles auraient été perdues à la Révolution… Ce ne sont que des hypothèses, plus ou moins farfelues, chaque région de méditerranée en rapport avec le catholicisme voulant s’approprier le fabuleux destin du Saint.

Entrée de la Chapelle Saint Lazare. Les mosaïques sont de toute beauté, fruit d'un travail minutieux.

Entrée de la Chapelle Saint Lazare. Les mosaïques sont de toute beauté, fruit d’un travail minutieux.

Construction

Marseille, en pleine expansion au XIXème siècle, avait donc besoin d’une nouvelle cathédrale. A cette époque, de nombreux édifices devenus aujourd’hui incontournables sont construits, comme la Gare Saint Charles, le Palais de la Bourse, le Palais du Pharo, Notre Dame de la Garde… c’était une période d’intense rénovation et de progrès pour Marseille. Il faudra 41 ans pour que la nouvelle cathédrale soit bâtie, de la première pierre posée en 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) à la fin des travaux en 1893. Pendant sa construction, les reliques que conservait la Vieille Major furent conservées à Notre-Dame de la Garde, l’autre église emblématique de la ville.

Vue extérieure du transept à droite, de la coupole principale au milieu et avec à gauche la coupole du ciborium.

Vue extérieure du transept à droite, de la coupole principale au milieu et avec à gauche la coupole du ciborium.

C’est l’évêque de Marseille d’alors, Mgr Eugène de Mazenod, qui en décida la construction. En effet, la nécessité se faisait sentir chaque jour un peu plus : du début de l’épiscopat de Mgr de Mazenod en 1837 jusqu’à sa mort en 1861, la ville double quasiment sa population. Il demande de l’aide aux autorités d’alors, qui décident, contre sa volonté, de construire la cathédrale sur le site de la Vieille Major. L’évêque aurait préféré lui que la nouvelle Cathédrale soit construite non loin d’où se trouve actuellement l’église des Réformés. Pour construire la Major, il a fallu gagner du terrain sur la me, avec d’importants travaux de terrassement. C’est aussi Mgr de Mazenod qui fit construire Notre-Dame de la Garde (entre 1853 et 1864).

La Major était un projet majeur à Marseille, mais également pour le reste du pays : c’est la seule cathédrale à avoir été construite au XIXème siècle en France. C’est l’architecte Léon Vaudoyer qui sera choisi pour diriger les travaux. D’inspiration historiciste (qui consiste dans la copie des styles architecturaux anciens comme le néogothique par exemple), il avait déjà fait ses armes sur le nouvel Hôtel de Ville d’Avignon. A sa mort en 1872, c’est son élève, Henri-Jacques Espérandieu, qui lui succéda. Il était à ce moment inspecteur des travaux de la Cathédrale (et donc représentant de Vaudoyer) depuis 1854. Espérandieu avait également dirigé les travaux de la nouvelle Notre-Dame de la Garde, sur un projet de Léon Vaudoyer, mais il ne sera à la tête des travaux de la Major que jusqu’en 1874, emporté par une fluxion de poitrine, malheureusement contractée dans la crypte de la « Bonne Mère » comme surnomment affectueusement les marseillais Notre-Dame de la Garde.

La Cathédrale est érigée par le pape Léon XIII en basilique mineure le 24 janvier 1896, et sera consacrée le 6 mai 1897. 9 ans plus tard, en 1906, elle sera classée monument historique.

Description

Léon Vaudoyer est l’un des fondateurs du style architectural historiciste. L’Historicisme s’inspire, ou copie, les styles architecturaux d’antan. C’est notamment le cas pour la nouvelle Major de Marseille, qui mélange plusieurs styles architecturaux d’un autre temps. La Major est avant tout d’inspiration byzantine, par la présence des nombreuses coupoles, de mosaïques et l’alternance des couleurs claires et obscures à l’extérieur, grâce à l’utilisation de la pierre de Calissane (une pierre blanche extraite à proximité de l’Etang de Berre) et de la pierre de Golfalina (une pierre verte extraite près de Florence). L’église aurait très bien pu se retrouver en Grèce sans trop détonner : c’est voulu bien sûr, et c’est un clin d’œil aux origines phocéennes de Marseille. La justification de l’époque pour ce choix fut la volonté de donner à la cathédrale une vocation méditerranéenne, ouverte sur le monde et aux influences externes.

L'alternance des pierres claires et foncées donnent un air byzantin à l'édifice religieux, voulu par les concepteurs de l'époque.

L’alternance des pierres claires et foncées donnent un air byzantin à l’édifice religieux, voulu par les concepteurs de l’époque.

Au style général byzantin viennent s’additionner des éléments architecturaux romans,  par l’utilisation des murs massifs, de petites fenêtres et d’arcades arrondies par exemple, bien visibles dans les chapelles rayonnantes du déambulatoire, ce qui permet d’affirmer que la Major est de style romano-byzantin. Gothique finalement, par la présence de rosaces et d’autres nombreux petits détails.

Vue de derrière, on distingue les innombrables coupoles et tours de la Major.

Vue de derrière, on distingue les innombrables coupoles et tours de la Major.

Le plan de  la Major utilise la forme classique de la croix latine, avec une longueur de 142 mètres, pour une largeur de 54 mètres. La grande coupole, qui s’élève à 70 mètres se trouve à la croisée du transept, entourée par trois autres coupoles plus petites : une de chaque coté du transept et une au dessus du ciborium. La dernière des cinq grandes coupoles se trouve au dessus de la chapelle de la Vierge. Deux coupoles plus petites se trouvent sur chacune des tours de la façade.

A gauche, la façade de la Major, et à droite, la voûte du porche, avec ses mosaïques représentant Jérusalem et Bethléem de chaque coté de la rosace.

A gauche, la façade de la Major, et à droite, la voûte du porche, avec ses mosaïques représentant Jérusalem et Bethléem de chaque coté de la rosace.

A gauche, la grande coupole vue de l'intérieur. A droite, le déambulatoire.

A gauche, la grande coupole vue de l’intérieur. A droite, le déambulatoire.

Difficile de la louper, la Major, quand on vient à Marseille. Je suis partagé entre deux sentiments, quand je la vois, comme pour toutes les églises historicistes du XIXème siècle : faut-il la détester ou l’aimer ? La détester, parce que cet agglomérat de styles différents issus de périodes antérieures ne rend pas justice à la beauté passée, l’harmonisation des styles n’étant pas forcément des plus heureux ici (contrairement à Notre Dame de la Garde, où il est réussi…). La copie n’a jamais été à la hauteur de l’original, comme on dit. L’aimer, parce que c’est malgré tout un édifice imposant, dans un environnement unique, évoquant d’autres horizons, comme l’avait voulu son concepteur, Léon Vaudoyer. S’il m’avait été possible d’émettre une critique à Vaudoyer à l’époque où il esquissa son premier dessin, je lui aurais peut-être dit de ne pas faire ce « melting pot » de genres, mais plutôt de choisir un style qui devienne propre à Marseille, dans la continuité de ce qui se fait déjà en Provence. C’était l’occasion de faire quelque chose de grandiose avec du local.

La cathédrale est immense, avec ses 142 mètres de long et ses 70 mètres de hauteur à la coupole centrale.

La cathédrale est immense, avec ses 142 mètres de long et ses 70 mètres de hauteur à la coupole centrale.

Sur mes photos, on ne voit pas encore le Mucem, le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Il faut dire qu’il est particulièrement moche, en bouchant toute la vue entre le Fort Saint-Jean et la Major. C’est ça ce que les autorités marseillaises veulent montrer aux touristes ? En cachant les vénérables monuments ? La tour de la CMA CGM, autre édifice polémique, a au moins le bon goût de ne pas se mettre devant des édifices qui représentent l’Histoire de la ville… Enfin bon, on n’est pas encore arrivé aux extrêmes comme pour la Tour de Londres, ouf !

Le Fort Saint Jean et sa Tour du Fanal est tout proche de la Major.

Le Fort Saint Jean et sa Tour du Fanal est tout proche de la Major.

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la Cathédrale Sainte-Marie Majeure de Marseille, je vous conseille vivement le site suivant, qui m’a bien aidé pour rédiger cet article : http://cathedrale.marseille.free.fr

Une date à retenir, pour visiter la Major : le 15 août. C’est à l’Assomption qu’on célèbre la « Procession à la Madone », où l’image de la Vierge dorée, qui se trouve toute l’année à la Major, est portée par des hommes dans les rues du quartier du Panier. C’est à ce moment là que les fidèles cherchent la protection pour eux et leurs enfants de la Vierge de la Major.

Photos de la Major

Au premier plan, bâtiments attenants à la cathédrale.

Au premier plan, bâtiments attenants à la cathédrale.

La Major, de nuit. Tout en bas à gauche de la photo, on distingue la statue de Monseigneur de Belsunce.

La Major, de nuit. Tout en bas à gauche de la photo, on distingue la statue de Monseigneur de Belsunce.

La nef est imposante.

La nef est imposante.

Un Christ sur sa croix à gauche, et l'image du pape Léon le Grand à droite, vénéré par les italiens émigrés venant de Sperlonga, établis dans le quartier du Panier depuis 1922.

Un Christ sur sa croix à gauche, et l’image du pape Léon le Grand à droite, vénéré par les italiens émigrés venant de Sperlonga, établis dans le quartier du Panier depuis 1922.

L'orgue de la Major est original, avec ses tuyaux horizontaux, ou en chamade selon le terme technique.

L’orgue de la Major est original, avec ses tuyaux horizontaux, ou en chamade selon le terme technique.

Entrée de la crypte, où se trouvent les tombeaux de Mgr de Belsunce et du Cardinal de Mazenod.

Entrée de la crypte, où se trouvent les tombeaux de Mgr de Belsunce et du Cardinal de Mazenod.

A gauche, la chapelle des défunts à droite, le baptistère.

A gauche, la chapelle des défunts à droite, le baptistère.

De l'autre coté de la Place de la Major se trouve, ici sur la gauche, la mairie des 2ème et 3ème arrondissements de Marseille. A droite, la grande peinture murale occupe tout le coté de cet immeuble.

De l’autre coté de la Place de la Major se trouve, ici sur la gauche, la mairie des 2ème et 3ème arrondissements de Marseille. A droite, la grande peinture murale occupe tout le coté de cet immeuble.

Les drapeaux présents dans la nef représentent les différentes régions de France. On distingue l'œuvre du sculpteur de Marseille, Auguste Carli, Véronique essuyant la face de Jésus tombé à terre.

Les drapeaux présents dans la nef représentent les différentes régions de France. On distingue l’œuvre du sculpteur de Marseille, Auguste Carli, Véronique essuyant la face de Jésus tombé à terre.

Le sanctuaire et son autel. Au premier plan, la cathèdre, siège de l'évêque.

Le sanctuaire et son autel. Au premier plan, la cathèdre, siège de l’évêque.

Chapelle de la Vierge. C'est ici que l'on se receuille à la mémoire de Mazenod.

Chapelle de la Vierge. C’est ici que l’on se receuille à la mémoire de Mazenod.

Détails des mosaïques de la Major.

Détails des mosaïques de la Major.

Les 7 statues de la façade, incluses dans le porche. On y retrouve, de gauche à droite : Marie Madeleine, Lazare, Pierre, Jésus, Paul, Maximin et Marthe.

Les 7 statues de la façade, incluses dans le porche. On y retrouve, de gauche à droite : Marie Madeleine, Lazare, Pierre, Jésus, Paul, Maximin et Marthe.

L'hôtel de Police, plus connu sous le nom de l'Evêché, se trouve juste à coté de la cathédrale de la Major.

L’hôtel de Police, plus connu sous le nom de l’Evêché, se trouve juste à coté de la cathédrale de la Major.

Détails de l'extérieur, avec à gauche une coupole du transept et la coupole principale, à droite les tours du portique.

Détails de l’extérieur, avec à gauche une coupole du transept et la coupole principale, à droite les tours du portique.

Le coté Nord de la cathédrale (derrière). A gauche, nous avons la Chapelle de la Vierge, en plein milieu de la photo on distingue trois chapelles de l'abside.

Le coté Nord de la cathédrale (derrière). A gauche, nous avons la Chapelle de la Vierge, en plein milieu de la photo on distingue trois chapelles de l’abside.

A gauche, vue extérieure de l'abside. A droite, la coupole principale avec ses 17,70 mètres de diamètre.

A gauche, vue extérieure de l’abside. A droite, la coupole principale avec ses 17,70 mètres de diamètre.

Vue arrière de la cathédrale.

Vue arrière de la cathédrale.

Façade de la Major, de nuit.

Façade de la Major, de nuit.

La porte centrale et son tympan, représentant Le couronnement de la Vierge.

La porte centrale et son tympan, représentant Le couronnement de la Vierge.

Des filets ont été ajoutés sur la façade, pour que d'éventuelles chutes de pierres n'atteignent les passants. C'est moins cher que de faire une restauration…

Des filets ont été ajoutés sur la façade, pour que d’éventuelles chutes de pierres n’atteignent les passants. C’est moins cher que de faire une restauration…

Infos Utiles

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Localisation de la Major


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